L’évaluation devra être menée en s’assurant que les participant.e.s soient au centre de la recherche, que les principes de genre, de participation et de non-discrimination soient pris en compte – et s’y conformer pendant toute la durée de l’évaluation. La conception des outils d’évaluation des ateliers de formation sur le terrain doit prendre en considération le niveau d’éducation, la langue de la cible ainsi que la situation post-catastrophe naturelle dans laquelle elle se trouve.
Le principe de “ne pas nuire” doit aussi être pris en considération en faisant attention à ne pas nuire aux participant.e.s dans l’évaluation que ce soit intentionnellement ou non, suivre les considérations éthiques dans la collecte de données, l’analyse et le partage, ainsi que d’assurer la protection des données et l’anonymat. L’évaluateur.ice devra tenir compte de la durée du projet et du contexte auquel il a dû s’adapter, notamment les crises successives telles que la pandémie, la sécheresse ou encore le séisme.
Cette évaluation se concentrera sur les actions menées durant la période d’exécution du projet, c’est- à-dire du début à la fin, dans la région d’intervention de Marrakech-Safi, province Al Haouz.